La civilisation béninoise se trouve à la croisée des chemins. Une nouvelle frange de citoyens prend la société en otage, à travers des pratiques qui sont en déphasage avec la culture nationale. Le phénomène « Miss Gay » se popularise et défie royalement nos us et coutumes, à cause de l’indifférence totale des autorités à qui la loi donne plein droit d’agir conséquemment.
Comme un train à grande vitesse (TGV) qui s’apprête à rallier très tôt sa destination, le phénomène ‘’Miss Gay‘’ fait forte sensation dans le vaste domaine de la sentimentalité humaine. L’effet contagion que cette tendance sexuelle engendre, amorce un virage assez dangereux en pleine crise sanitaire due à la Covid 19. La propagation de cette nouvelle forme de vie sexuelle est la preuve évidente du danger qui guette la société béninoise. Dès lors, les mesures barrières pour ralentir la puissance de contamination au coronavirus deviennent de vaines louanges. En effet, la conception des éditions ‘’Miss Gay‘’, pour distinguer des hommes qui passent pour des êtres du sexe féminin dans les couples homosexuels, se positionne comme un frein à la culture évolutive de la vie conjugale connues de tous dans la société. Une culture qui veut que l’homme et la femme soient l’épicentre des relations sexuelles avec pour objectif la procréation. Mais la promotion de ce qu’on peut appeler une pratique à l’antipode de la vie de couple est sur le point de changer le cours de l’histoire. Rien ne semble, à priori, faire reculer la tendance. Comme une gangrène, le mal affecte sérieusement la société, acquérant au quotidien une indépendance liberticide. Les couples homosexuels envahissent la société béninoise et attendent qu’on leur décerne des oscars. Ce phénomène nouveau met les valeurs morales en berne. On y retrouve tous les olympiades de l’amour : De la drague à l’instant sublime marqué par l’orgasme sexuel en passant par les caresses. On sollicite, à tout bout de champ, des partenaires pour afficher son identité d’homosexuel. La première édition de ‘’Miss Gay‘’ tenue dans un quartier populeux à Akpakpa, ouvre les vannes de l’émergence de cette nouvelle catégorie de « citoyens béninois ». Aujourd’hui, il existe des bars qui sont l’apanage des hommes à jamais moulés dans ce triste instinct. On y retrouve des jeunes de tous âges qui, par manque d’éducation ou par suivisme béat, végètent dans une reconversion suicidaire. Amants officiels et occasionnels s’offrent des plaisirs sexuels qui dépassent l’entendement. Le phénomène « Miss Gay » s’agrippe aux us et coutumes et s’endiable à emporter qui il peut.
Mise à rude épreuve, la civilisation béninoise traverse l’un des pires moments de son histoire. La tendance à inverser l’ordre primitif des choses, crée de nouveaux types d’hommes qui ont perdu toute vertu morale, à la recherche d’une libido dont la légitimité laisse à désirer. Au regard de l’ampleur que prend le phénomène, il y a des raisons de donner l’alerte. Quitte à ce que les autorités fassent diligence pour arrêter la saignée ou pour légaliser la pratique. On ne dira plus qu’il faut couper le mal à la racine. Car, il s’est profondément enraciné. Le Bénin concurrence dangereusement les pays où la pratique de l’homosexualité est érigée en mode de vie. Après le trafic de la drogue, ce phénomène nouveau prend le relais et traîne dans la boue, l’image angélique de la tradition béninoise. L’autre brèche dans la gangrène, c’est que le plus souvent, ces concours « Miss Gay » sont sponsorisés par des personnalités politiques insoupçonnables. Comme si, ces dernières ont une inclinaison à ce vice moral. Toute chose qui amène à se demander si les acteurs aux premiers rangs qui militent fortement pour le triomphe de l’homosexualité ont encore leur place dans la société.
Graves menaces sur l’accroissement de la population
En plein 21 ème siècle où les ressources humaines sont indispensables dans les facteurs de développement, la pratique de l’homosexualité ralentit la croissance démographique. Lorsque deux espèces de même sexe décident d’être amants, de manière à former une vie de couple, c’est un manque à gagner pour la société. De cette union factice, l’on n’enregistrera que de l’usure inutile des ressources humaines. Depuis l’histoire de l’humanité, aucune espèce mâle n’a pu se mettre en gestation, au point de donner vie à une créature de sa ressemblance. Les historiens parleront d’un mythe dans le contemporain. C’est faire une injure à la nature, d’espérer que cela viendra un jour. La science, malgré ses énormes progrès, n’est jamais parvenue à démentir cette vérité universelle. Mais les homosexuels se donnent toutes les chances, de changer le cours normal de l’histoire. La tentative d’opérer la énième révolution de l’humanité amorce une phase ascendante. A travers le phénomène « Miss Gay », l’homosexualité conquit les cœurs. Les adeptes de cette pratique se font nombreux et crient haro sur la fonction reproductrice. Au même moment qu’elle détruit les valeurs sacrées de la République, la pratique de l’homosexualité au Bénin s’efforce d’inscrire son nom dans le registre des révolutions humaines. La messe s’anime, avec à la clé, toutes les homélies possibles. La terre pleure son hospitalité, sans pouvoir être capable de faire reculer les frontières de ce qui apparaît comme un drame social. Une manière de penser que seule, une action urgente peut avoir valeur de thérapie de choc.
Urgente nécessité de définir une législation pour réprimer le mal ?
En cette saison de réformes, marquée par le vote d’une série de lois à l’Assemblée nationale, il est difficile de parier sur une longévité de l’homosexualité au Bénin. Au regard du caractère dominant du phénomène, il est plus que jamais nécessaire de définir une législation pour décourager à jamais les pratiques homosexuelles inscrites sur écrans géants dans la société. Les députés à qui la constitution confère l’initiative de la loi ont l’impérieux devoir de se saisir du dossier. L’histoire retiendra que, c’est en leur temps, que de telles pratiques sexuelles ont été ralenties ou systématiquement proscrites de la société béninoise. Ne pas le faire, c’est se faire complice de la délinquance morale qui étend ses tentacules. Le mutisme du législateur est un terreau pour ce mal qui gangrène la société. C’est dire qu’il y a véritablement urgence et qu’une attitude passive est synonyme de renoncement à une mission qui se veut républicaine. Au Sénégal, tout près, à un moment où le phénomène s’est posé, l’ex-président Abdoulaye Wade a su prendre, en son temps, des dispositions idoines pour contenir ce vice comportemental. Cette interdiction a été soutenue par Macky Sall devant le premier ministre Canadien Justin Trudeau en visite dans le pays de Senghor, et qui tentait de défendre les adeptes de la pratique. C’est dire combien la pratique de l’homosexualité est une menace pour la société sénégalaise, africaine. Le Bénin doit s’inspirer de l’exemple sénégalais et d’autres pays qui ont réussi, malgré la pression sociale, à mettre les barreaux pour étouffer l’initiative dans l’œuf. Cette lutte interpelle donc les autorités à divers niveaux, et même les organisations non gouvernementales qui n’ont pas le droit de manifester une quelconque indifférence face au phénomène gênant qu’est l’homosexualité, connu sous sa formule scientifique « Miss Gay ». Toute réflexion faite, c’est un milieu qui peut se révéler propice à la contamination de la Covid-19. Tant aucune attention n’est portée aux gestes barrières qui sont royalement foulées aux pieds. Il suffit d’assister aux rencontres périodiques qu’ils tiennent pour s’en rendre compte. Plus grave, ils sont prêts à vous engueuler et même vous jeter tous les mauvais sorts en cas de remontrances, vous indiquant ainsi que leur monde est différent des vôtres.